Quand je m’angoissais, pour les petits ou pour savoir comment nous allions faire après, Isaac me disait : « Pense au pire, comme cela tu seras préparée et si c’est mieux, tant mieux. » Il disait aussi que nous verrons bien ce qui nous est destiné et qu’il ferait comme les Français, un béret sur la tête, une baguette sous le bras et qu’il n’y aurait pas à s’inquiéter. En effet, les choses se sont très bien passées.